Les Aristocrates rebelles
L’histoire de France et du monde recèle une incroyable richesse en aristocrates rebelles. Tous, à leur manière, inventent leur vie.
Qu’est-ce qu’un aristocrate rebelle ? Pour Gonzague Saint Bris, c’est un être original, non conformiste et débordant d’humanité, qui emprunte un chemin en dehors du monde dont il est issu. Il exprime sa différence à la manière d’Honoré de Balzac : « J’appartiens à ce parti d’opposition qui s’appelle la vie ! »
De Cyrano de Bergerac à Olympe de Gouges, de Lord Byron à Madame de Staël, du comte Tolstoï à Savorgnan de Brazza, d’Abd el-Kader à Nelson Mandela, de Luchino Visconti à Simone de Beauvoir… Tous, à leur manière, inventent leur vie. Ils se défont des oripeaux de leur classe pour se vêtir des habits neufs de la découverte qui les fascine ou du combat qu’ils jugent juste. Ils ne sont en rien comparables et cependant ils appartiennent à cette même fraternité qui n’a pas eu peur de tourner le dos à son milieu pour changer l’histoire.
« Quand un homme marche à un autre pas que ses compagnons, c’est qu’il entend un autre tambour. »
Henry David Thoreau
Qu’est-ce qu’un aristocrate rebelle ? Pour Gonzague Saint Bris, c’est un être original, non conformiste et débordant d’humanité, qui emprunte un chemin en dehors du monde dont il est issu. Il exprime sa différence à la manière d’Honoré de Balzac : « J’appartiens à ce parti d’opposition qui s’appelle la vie ! »
De Cyrano de Bergerac à Olympe de Gouges, de Lord Byron à Madame de Staël, du comte Tolstoï à Savorgnan de Brazza, d’Abd el-Kader à Nelson Mandela, de Luchino Visconti à Simone de Beauvoir… Tous, à leur manière, inventent leur vie. Ils se défont des oripeaux de leur classe pour se vêtir des habits neufs de la découverte qui les fascine ou du combat qu’ils jugent juste. Ils ne sont en rien comparables et cependant ils appartiennent à cette même fraternité qui n’a pas eu peur de tourner le dos à son milieu pour changer l’histoire.
« Quand un homme marche à un autre pas que ses compagnons, c’est qu’il entend un autre tambour. »
Henry David Thoreau