C’est l’histoire d’un résistant hors du commun, Michel Hollard, reconnu en Angleterre et en Suisse, mais absent de notre mémoire collective.
C’est l’histoire d’un réseau de renseignements d’une centaine d’agents, recrutés entre 1941 et 1944 par cet ingénieur et père de famille, intrépide et méthodique, qui a traversé 98 fois clandestinement la frontière franco-suisse avant d’être dénoncé, arrêté, torturé, déporté, puis libéré à la fin de la guerre.
C’est l’histoire de sa découverte des bases de lancement des missiles V1, la redoutable arme secrète des Allemands pour détruire Londres. Et le récit audacieux de l’une des plus incroyables opérations de renseignement de la guerre.
C’est l’histoire d’un livre miraculeux, écrit par un journaliste anglais en étroite collaboration avec ce héros méconnu. Publié à une époque où la mémoire des événements était encore fraîche, ce texte plein de force est plus prenant qu’un roman d’aventure. Depuis plus de 60 ans, il a connu une vie souterraine, circulant de main en main.
Le voici.
Avec 98 dessins d’Emmanuel Guibert
Postface d’Agnès Hollard-Grunelius
C’est l’histoire d’un résistant hors du commun, Michel Hollard, reconnu en Angleterre et en Suisse, mais absent de notre mémoire collective.
C’est l’histoire d’un réseau de renseignements d’une centaine d’agents, recrutés entre 1941 et 1944 par cet ingénieur et père de famille, intrépide et méthodique, qui a traversé 98 fois clandestinement la frontière franco-suisse avant d’être dénoncé, arrêté, torturé, déporté, puis libéré à la fin de la guerre.
C’est l’histoire de sa découverte des bases de lancement des missiles V1, la redoutable arme secrète des Allemands pour détruire Londres. Et le récit audacieux de l’une des plus incroyables opérations de renseignement de la guerre.
C’est l’histoire d’un livre miraculeux, écrit par un journaliste anglais en étroite collaboration avec ce héros méconnu. Publié à une époque où la mémoire des événements était encore fraîche, ce texte plein de force est plus prenant qu’un roman d’aventure. Depuis plus de 60 ans, il a connu une vie souterraine, circulant de main en main.
Le voici.
Avec 98 dessins d’Emmanuel Guibert
Postface d’Agnès Hollard-Grunelius