Une larme m’a sauvée
La veille du 14 juillet, Angèle Lieby se rend aux urgences d’un hôpital de Strasbourg pour une mauvaise migraine. Son état s’aggrave et on doit la plonger dans un coma artificiel.
Quelques jours plus tard, les médecins n’arrivent pas à la réveiller : malgré toutes les stimulations, Angèle ne montre aucun signe de vie. « Il faut la débrancher ! » finit-on par dire à son mari.
Pourtant, le jour anniversaire de son mariage, sa fille voit une larme perler au coin de sa paupière.
Angèle est non seulement vivante, mais parfaitement consciente. Et ce depuis le premier jour…